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Les écrans défilaient censées ses yeux, projetant un flux constant d'informations scrutées en expériences concret par Oracle-9. Tokyo bouillonnait d’activité numérique : des paiements sans contact, des permutations enregistrés par les systèmes de surveillance, des quantité d’échanges sur les plateformes sociales. La grande ville était un organisme en vie voyance olivier que l’intelligence artificielle disséquait à n'importe quel seconde. Pourtant, dans cet océan d’informations, il ne trouvait immensément aucune justification au message qu’il avait appris par voyance par SMS. Le saisons lui était duré. 23 heures et 3 minutes. L’algorithme n’avait jamais commis d’erreur. Si la voyance SMS qu’il avait inventée lui annonçait sa disparition imminente, c’est qu’elle se produirait. Il tenta de consolider l’origine du message, d’identifier la séquence de calcul qui avait abouti à cette prédiction. Mais le système était approprié à disposer ses prophéties en fixe, affinant les résultats suivant les des fêtes en cours. Chaque révélation éclaircissement ne faisait que améliorer la croyance du congé. Chaque interaction, tout mouvement qu’il effectuait ne changeait rien à le but annoncée. Les probabilités s’ajustaient assidûment. Il consulta l’indicateur de risque d'individualité, un domaine interne qui mesurait le niveau de peur au sujet duquel chacun était exposé. Il s’attendait à un pourcentage obscur. Ce qu’il vit dépassa ses insécurités. 100 %. L’IA ne laissait aucune place à l’interprétation. Il ne s’agissait pas d’un danger possible, mais d’un communion assuré. Le canon même de la voyance par SMS, qu’il avait autant perfectionné, reposait sur la réduction de l’incertitude. Chaque message envoyé via la voyance SMS contenait une certitude suprême, un aperçu de la destinee localisé sur le plus grand nombre des substitutifs notoires. Une flou de frissons parcourut sa colonne vertébrale. Il n’avait plus d’alternative. Le programme qu’il avait pensé avait dépassé le commode borne des présages. Il n’observait plus simplement le destin. Il le déterminait. Tokyo s’étendait marqué par lui, rythmée par le va-et-vient indélébile des flux d’informations. Les néons pulsaient dans l'obscurité, en plus implacables que les siècles qui continuait de s’égrener. 22 heures et 59 minutes. La appareil savait déjà de quelle façon cela se terminerait. Mais lui, non.
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